L'amour c'est un boomerang. Je suis un boomerang aussi. Je lui ai demandé ... je lui ai posé une question qui me faisait peur : l'as-tu embrassé quand tu étais avec moi ? ... Il l'a fait. Il l'a embrassé elle, ce soir où il m'a abandonné moi pour la rejoindre. En même temps j'étais bien naïve d'espérer le contraire. Je n'étais donc rien à ce moment là et même si je m'étais préparer à avoir une réponse positive, je ne pensais pas que ça ferais mal comme ça. Mais j'encaisse parce que maintenant il ne le ferra plus. Pourquoi ? Mais parce qu'il ne le pourra plus. Il n'auras plus aucune opportunités d'aller la voir, plus aucunes opportunités de la consolé elle en me laissant pleurer seule autre part, il ne pourra plus être proche d'elle comme je l'ai laissé faire, tout ceci est terminé parce que je ne le veux plus dans ma vie ... ce gouffre d'incertitude et de questionnement sans fin. Je ne veux plus du malheur qu'ils m'ont tout les deux offerts en restant ce qu'ils étaient l'un pour l'autre, en restant des êtres qui s'aiment alors que l'amour n'avait plus sa place ... alors que le mien existait déjà. Mon dieu, que l'amour est triste. Parfois j'aimerais que cette femme n'ai jamais existé, j'aurais moins souffert. Mais bon, la vie en a décidé autrement et je sais que le 16 de ce mois elle lui souhaitera son anniversaire. Me le diras-t-il ? Cet homme ne ment que par omission. Alors je n'en sais rien. Je me sens tout de même trahis. Comme je lui ai dit, il a bien fait de ne pas me l'avoir dit à ce moment là parce que je l'aurais immédiatement quitté, c'était certain. Néanmoins il m'a menti tout de même. Si je n'entant pas la vérité, comment puis-je décider de ma vie ? S'il ne me dit rien il ne me laisse pas le choix de prendre une décision, il m'enlève ça. C'est dégueulasse.Cet homme à vraiment été un salaud avec moi pendant plus de la moitié de notre relation ... c'est dure à avaler. Depuis deux mois c'est le bonheur complet ... mais le passé n'est pas encore étouffé. Alors je patiente, j'observe, je me méfie quand même encore de lui et je laisse le temps me dire le reste, réparer les blessures d'autrefois... Pourvu que ça se fasse vite.
Blackspot
On n'est jamais si malheureux qu'on croit, ni si heureux qu'on avait espéré. [François de La Rochefoucauld]
Blackspot
On n'est jamais si malheureux qu'on croit, ni si heureux qu'on avait espéré. [François de La Rochefoucauld]
Jeudi 4 avril 2013 à 12:07
4 avril 2013
La vie me surprendra toujours. Les humains aussi. Moi. Tout est si incertain, si flou ... la vie peut prendre un virage à 360 ou bien suivre son court, c'est juste qu'on n'a aucune idée du sens qu'elle voudra bien prendre. Hier soir j'ai voulu être maitresse de ma vie et ne pas me laisser tirer vers le fond, alors je lui ai enfin réellement parlé. Il sait que je n'arrive plus à être patiente avec la délicatesse qu'il prend pour son ancienne copine. Il sait que la prochaine fois qu'il me sacrifie à elle, qu'il décide de ne pas me protéger et de ne pas me prouver que, comme il le dit, c'est moi qu'il aime ... il sait que cette fois là je le quitterais définitivement. Avec moi il n'y a pas de retours possibles, je disparait entièrement de la vie des personnes que je quitte. Je ne laisse qu'un souvenir et rien d'autre. Je ne réponds plus aux appels et aux messages, j'enlève le moindre objet prouvant ma présence, je suis catégorique et intransigeante : je déménage à une vitesse terrifiante. C'est le seul moyen que m'a donné la vie pour garder la tête hors de l'eau, je ne fais pas la moitié des choses ou juste le début ... je fais, simplement.
Hier on a pleurés, tout les deux, on a pleurés toutes les larmes de notre corps, ou peut-être presque. Je me suis entendu dire qu'il m'aimait et qu'il ne me laisserait pas partir, j'ai entendues des mots qui m'ont touchés. Encore une fois il s'est rendu coupable, s'est caché derrière le fait qu'il gâchait tout et j'ai voulu lui dire que ce n'était pas vrai ... j'ai tout de même du lui dire que ce n'était pas si faux non plus. Hier il a bu un verre de Rhum pour accusé le coup et moi aussi j'en ai bu un. Hier il a fuit mon regard puis il l'a cherché, il m'a touché puis s'est éloigné, il a pris plusieurs inspirations pour me parler mais il a presque à chaque fois changé d'avis et il s'est tue. Hier il a essayé et tout ce que j'ai vu c'est qu'il y arrivait. Notre histoire repose désormais sur une phrase : "la prochaine fois sera celle de trop et je te quitterais". Nous sommes sur le file, en équilibre entre l'amour et la haine et seul lui en possède les cartes, j'ai déjà distribué toutes les miennes. J'ai envie de croire que cette fois ci seras la bonne, à vrai dire je n'en ai aucune certitude, alors on va attendre de voir ce que la vie décideras de mettre sur notre route ... De toute façon, la réponse est là : la vie est un choix. Je saurais faire les bons.
La vie me surprendra toujours. Les humains aussi. Moi. Tout est si incertain, si flou ... la vie peut prendre un virage à 360 ou bien suivre son court, c'est juste qu'on n'a aucune idée du sens qu'elle voudra bien prendre. Hier soir j'ai voulu être maitresse de ma vie et ne pas me laisser tirer vers le fond, alors je lui ai enfin réellement parlé. Il sait que je n'arrive plus à être patiente avec la délicatesse qu'il prend pour son ancienne copine. Il sait que la prochaine fois qu'il me sacrifie à elle, qu'il décide de ne pas me protéger et de ne pas me prouver que, comme il le dit, c'est moi qu'il aime ... il sait que cette fois là je le quitterais définitivement. Avec moi il n'y a pas de retours possibles, je disparait entièrement de la vie des personnes que je quitte. Je ne laisse qu'un souvenir et rien d'autre. Je ne réponds plus aux appels et aux messages, j'enlève le moindre objet prouvant ma présence, je suis catégorique et intransigeante : je déménage à une vitesse terrifiante. C'est le seul moyen que m'a donné la vie pour garder la tête hors de l'eau, je ne fais pas la moitié des choses ou juste le début ... je fais, simplement.
Hier on a pleurés, tout les deux, on a pleurés toutes les larmes de notre corps, ou peut-être presque. Je me suis entendu dire qu'il m'aimait et qu'il ne me laisserait pas partir, j'ai entendues des mots qui m'ont touchés. Encore une fois il s'est rendu coupable, s'est caché derrière le fait qu'il gâchait tout et j'ai voulu lui dire que ce n'était pas vrai ... j'ai tout de même du lui dire que ce n'était pas si faux non plus. Hier il a bu un verre de Rhum pour accusé le coup et moi aussi j'en ai bu un. Hier il a fuit mon regard puis il l'a cherché, il m'a touché puis s'est éloigné, il a pris plusieurs inspirations pour me parler mais il a presque à chaque fois changé d'avis et il s'est tue. Hier il a essayé et tout ce que j'ai vu c'est qu'il y arrivait. Notre histoire repose désormais sur une phrase : "la prochaine fois sera celle de trop et je te quitterais". Nous sommes sur le file, en équilibre entre l'amour et la haine et seul lui en possède les cartes, j'ai déjà distribué toutes les miennes. J'ai envie de croire que cette fois ci seras la bonne, à vrai dire je n'en ai aucune certitude, alors on va attendre de voir ce que la vie décideras de mettre sur notre route ... De toute façon, la réponse est là : la vie est un choix. Je saurais faire les bons.
Mercredi 3 avril 2013 à 10:46
Je déteste cette femme du plus profond de mon coeur.
Vendredi 29 mars 2013 à 20:01
29 Mars 2013
Je pensais que j'aurais pu me remettre avant qu'elle ne revienne dans sa vie. Juste un message, sans même que je ne sache ce qu'elle lui dit. Elle a attendu 3 mois pour revenir, alors qu'elle m'en a volé 6 ... qu'ils m'en ont volé 6. Et voilà, sa tête quand il me répond qu'elle ne lui dit pas grand chose, ou plutôt "rien de grave", qu'elle lui demande s'il va bien. Son visage trahis facilement, je me doutais qu'il n'y avais pas que ça. Elle reparle encore de leur passé ENCORE !!!!! POURQUOI ? Mais POURQUOI ? Laisse moi tranquille MERDE !!! Elle m'a volé mes débuts avec lui, elle m'a volé des instants précieux pour moi et il ne voit rien, il ne comprends pas. JE NE VEUX PLUS DE CETTE FEMME. PLUS UN SEUL INSTANT, PLUS UNE SEULE MINUTE !!!! Plus aucuns messages, je ne le supporte plus. Et il ne veux même pas lui dire que son message est déplacé. Il est plus simple de la protéger elle, après tout, je suis assez grande pour me protéger toute seule de cette femme ... et de lui aussi. Finalement je cherche encore ses preuves d'amour, il a toujours sacrifier le notre pour préserver sa si blessé d'ancienne petite amie. Il ne peut pas, et il ne pourra jamais de toute façon. Alors bon ... Non, mon amour, je ne t'en veux pas, c'est pire que ça, tu m'as tellement déçue, si tu savais a quelle point ... Je préférerais t'en vouloir. Tu me rends encore victime de ton choix à ne rien faire et à attendre. Lorsque tu vois mon visage sourire, tu te dis que tout est réglé ... je ne sais pas pourquoi j'insiste à avoir l'air toujours heureuse, je me pourris moi même la vie, surtout qu'il n'en fais pas autant pour me préserver lorsqu'il le faudrait ... Parfois je me fais peur, les anciens démons sont toujours là. J'ai envie de me laisser tomber dans les escaliers, j'ai envie d'avoir mal autrement ... et ça me fait peur. Est-ce que j'en suis encore capable ? M'entailler comme je l'ai déjà fait. C'est pour ça que je ne voulais plus d'amour, c'est pour toute cette souffrance exacerbé que je ressent a chaque fois que l'autre ne me chéri pas comme je le fait avec lui. C'est trop démesuré, je suis trop envahi par ce sentiment censé être enivrant. Et si à terme j'en venais a haïr l'amour ? Et si après lui j'arrêtais simplement ? Ca serait bien. Finalement j'étais sereine sans amour. Finalement c'était bien ...
29 Mars 2013
Oui, je peux encore me couper, m’entailler et puis après me dire « mais pourquoi j’ai fait ça hein ? Pourquoi ? » Je ne suis pas à plaindre, merde ! L’homme avec qui je vis m’aime contrairement à celui qui m’a fait me scarifier la première fois. On a décidé tout les deux de partir loin, trééééés loin, et de creuser 500 km entre nous et les autres … On a fuit. Et ça me va, je ne trouve rien à en redire.
Cela faisait 7 ans que je ne l’avais pas fait. Les cicatrices étaient pratiquement partis, ce n’est que très récemment que j’ai senti l’envie revenir. A croire que l’amour me ronge plus que je ne l’aurais cru. Mon dieu ! Et s’il les voyait ? Comment je pourrais expliquer ça hein ? J’ai pas envie qu’il sache. Je me sens tellement nulle. Elles sont tellement visibles en plus. Je suis si faible en fin de compte. Je me sens si facilement abandonnée. Je ne sais pas ce qu’il se passe dans ma tête. Certes, ils m’ont fait souffrir mais pourquoi j’en suis arrivé là ? Cette situation est loin d’être insurmontable, et je le sais. Peut-être que finalement j’étais encore plus touché que je ne le pensais …
Je veux qu’elles disparaissent. Promis, je ne recommencerais plus. J’ai trop peur des répercutions, trop peur qu’il ne veuille plus de moi, trop peur qu’il se dise que je suis une charge trop lourde a porter. Pourtant je lui avais dis que je n’était pas si équilibrée que ce qu’il pouvait penser. Il ne m’a pas cru, et ça je voulais le croire, me dire que j’étais quelqu’un de stable, que je pouvais gérer mes émotions comme je l’entendais. Mais elles sont tellement lourdes ces émotions … c’est un torrent de sentiment, j’ai l’impression de ne rien maitriser sur ce mal qui me ronge, cette envie de lui dire « c’est fini, stop. Notre histoire s’arrête ici » et de rentrer chez moi, de le laissé là, se démerder tout seul … mais j’ai pas envie de le perdre, pas envie de me réveiller seule, sans personne a mes cotés, pas envie de ne faire qu’imaginer son sourire, je ne veux pas le savoir seul ici, je ne veux pas être loin de lui… je ne le supporterais pas non plus. Pourquoi est-ce qu’on est obligé d’aimer hein ? Je m’en sortais quand j’avais personne. J’étais si bien. Si seule.
29 Mars 2013
Oui, je peux encore me couper, m’entailler et puis après me dire « mais pourquoi j’ai fait ça hein ? Pourquoi ? » Je ne suis pas à plaindre, merde ! L’homme avec qui je vis m’aime contrairement à celui qui m’a fait me scarifier la première fois. On a décidé tout les deux de partir loin, trééééés loin, et de creuser 500 km entre nous et les autres … On a fuit. Et ça me va, je ne trouve rien à en redire.
Cela faisait 7 ans que je ne l’avais pas fait. Les cicatrices étaient pratiquement partis, ce n’est que très récemment que j’ai senti l’envie revenir. A croire que l’amour me ronge plus que je ne l’aurais cru. Mon dieu ! Et s’il les voyait ? Comment je pourrais expliquer ça hein ? J’ai pas envie qu’il sache. Je me sens tellement nulle. Elles sont tellement visibles en plus. Je suis si faible en fin de compte. Je me sens si facilement abandonnée. Je ne sais pas ce qu’il se passe dans ma tête. Certes, ils m’ont fait souffrir mais pourquoi j’en suis arrivé là ? Cette situation est loin d’être insurmontable, et je le sais. Peut-être que finalement j’étais encore plus touché que je ne le pensais …
Je veux qu’elles disparaissent. Promis, je ne recommencerais plus. J’ai trop peur des répercutions, trop peur qu’il ne veuille plus de moi, trop peur qu’il se dise que je suis une charge trop lourde a porter. Pourtant je lui avais dis que je n’était pas si équilibrée que ce qu’il pouvait penser. Il ne m’a pas cru, et ça je voulais le croire, me dire que j’étais quelqu’un de stable, que je pouvais gérer mes émotions comme je l’entendais. Mais elles sont tellement lourdes ces émotions … c’est un torrent de sentiment, j’ai l’impression de ne rien maitriser sur ce mal qui me ronge, cette envie de lui dire « c’est fini, stop. Notre histoire s’arrête ici » et de rentrer chez moi, de le laissé là, se démerder tout seul … mais j’ai pas envie de le perdre, pas envie de me réveiller seule, sans personne a mes cotés, pas envie de ne faire qu’imaginer son sourire, je ne veux pas le savoir seul ici, je ne veux pas être loin de lui… je ne le supporterais pas non plus. Pourquoi est-ce qu’on est obligé d’aimer hein ? Je m’en sortais quand j’avais personne. J’étais si bien. Si seule.
Vendredi 29 mars 2013 à 19:55
26 Janvier 2013
J'ai des débuts d'idées, des débuts de sens puis plus rien. Les mots sont si dur a attraper, si compliqués a convaincre, alors écrire sans réfléchir a-t-il un sens que les mots ne peuvent pas détourner ? J'ai pris le doute et je l'ai retourné dans toute les positions, j'ai essayé de le baiser, de chasser la vulgarité de tout mes textes, mais c'est inévitable, ils reviennent, ils font partie de mes phrases, de mes sentiments de mes sens et surtout ils résume ma vie, parce que la vie est une Pute avec un p majuscule. Je vais écrire le début d'une ligne et on verra où elle va vu que je ne maitrise pas les mots ni leurs véritable profondeur.
Je me balade dans un parc, la nuit est belle, personne aux alentours, ni un chat, ni une âme qui vive. Le soleil à brillé toute la journée mais je n'ai pas voulu me retrouvé en dessous. Tranquillement, j'ai attendu la lune. La lune est une menteuse. Quand elle apparait le décor devient beaucoup plus incertain, on sait plus trop où mettre les pieds. On vit un amour voilé, on rencontre un être humain calfeutré dans l'incertitude de la pénombre d'un demi lampadaire, on voit les reflets d'un lac un peu plus scintillant vu que le reste est plongé dans le noir, on entends mieux parce qu'on ne voit plus bien. C'est comme venir au monde ? C'est comme craché sur ce qu'on ne veux plus voir. Plus de vérités, plus de doutes, juste des beaux mensonges bien mignons. L'invulnérable menteuse qui sommeil en moi a toujours eu cette envie profonde de refaire surface et d'écraser l'inaltérable prêcheuse de vérités. Vous, là, vous vous cachez sous des multitudes de prétextes pour vos mensonges. Vos mensonges en silence, l'omission atroce de mentionner les choses, d'oublié volontairement. Après tout, qui y a-t-il a blesser ? Mais vous bien évidement ... et moi aussi. Vous passez votre temps à oublier les autres alors pourquoi je ne vous oublierais pas un peu et que moi aussi je vous mentais. Je vous salirais comme vous m'avez salie. Vos mensonges salissent ma si belle fierté, ils violent mon égo, ils ternissent l'image que je me fait du reste du monde.
Moi aussi j'ai oublié que tu était là et j'ai presque dit « je t'aime » à quelqu'un d'autre. Moi aussi je ne te donne pas autant d'importance que la personne d'avant. Moi aussi je suis heureuse de t'avoir rencontré pour que tu panse mes plaies, que tu remplisse les creux, que tu soit assez fort pour supporter mon passée dont je ne sais pas quoi faire ainsi que mon présent dont je me tais et mon futur ... mon futur moi je sais. Je le sais déjà. Le futur n'est pas entièrement fais de toi. Mon futur se passera, à un moment donné, sans toi. Et pourquoi est-ce que je sais déjà ça moi ? J'ai pas envie de tout voir. J'ai envie d'être sous la lune et de ne voir qu'un peu de toi, qu'un peu, juste un peu et rien de plus.
Mais tais-toi, après tout, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple et juste se taire ? Et si moi je me tais ? Je pourrais déjà passer à se futur dont tu ne fais pas partie. Voilà, la vérité est assez moche en fait. Alors oui, je préfère la lune au soleil.
J'ai des débuts d'idées, des débuts de sens puis plus rien. Les mots sont si dur a attraper, si compliqués a convaincre, alors écrire sans réfléchir a-t-il un sens que les mots ne peuvent pas détourner ? J'ai pris le doute et je l'ai retourné dans toute les positions, j'ai essayé de le baiser, de chasser la vulgarité de tout mes textes, mais c'est inévitable, ils reviennent, ils font partie de mes phrases, de mes sentiments de mes sens et surtout ils résume ma vie, parce que la vie est une Pute avec un p majuscule. Je vais écrire le début d'une ligne et on verra où elle va vu que je ne maitrise pas les mots ni leurs véritable profondeur.
Je me balade dans un parc, la nuit est belle, personne aux alentours, ni un chat, ni une âme qui vive. Le soleil à brillé toute la journée mais je n'ai pas voulu me retrouvé en dessous. Tranquillement, j'ai attendu la lune. La lune est une menteuse. Quand elle apparait le décor devient beaucoup plus incertain, on sait plus trop où mettre les pieds. On vit un amour voilé, on rencontre un être humain calfeutré dans l'incertitude de la pénombre d'un demi lampadaire, on voit les reflets d'un lac un peu plus scintillant vu que le reste est plongé dans le noir, on entends mieux parce qu'on ne voit plus bien. C'est comme venir au monde ? C'est comme craché sur ce qu'on ne veux plus voir. Plus de vérités, plus de doutes, juste des beaux mensonges bien mignons. L'invulnérable menteuse qui sommeil en moi a toujours eu cette envie profonde de refaire surface et d'écraser l'inaltérable prêcheuse de vérités. Vous, là, vous vous cachez sous des multitudes de prétextes pour vos mensonges. Vos mensonges en silence, l'omission atroce de mentionner les choses, d'oublié volontairement. Après tout, qui y a-t-il a blesser ? Mais vous bien évidement ... et moi aussi. Vous passez votre temps à oublier les autres alors pourquoi je ne vous oublierais pas un peu et que moi aussi je vous mentais. Je vous salirais comme vous m'avez salie. Vos mensonges salissent ma si belle fierté, ils violent mon égo, ils ternissent l'image que je me fait du reste du monde.
Moi aussi j'ai oublié que tu était là et j'ai presque dit « je t'aime » à quelqu'un d'autre. Moi aussi je ne te donne pas autant d'importance que la personne d'avant. Moi aussi je suis heureuse de t'avoir rencontré pour que tu panse mes plaies, que tu remplisse les creux, que tu soit assez fort pour supporter mon passée dont je ne sais pas quoi faire ainsi que mon présent dont je me tais et mon futur ... mon futur moi je sais. Je le sais déjà. Le futur n'est pas entièrement fais de toi. Mon futur se passera, à un moment donné, sans toi. Et pourquoi est-ce que je sais déjà ça moi ? J'ai pas envie de tout voir. J'ai envie d'être sous la lune et de ne voir qu'un peu de toi, qu'un peu, juste un peu et rien de plus.
Mais tais-toi, après tout, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple et juste se taire ? Et si moi je me tais ? Je pourrais déjà passer à se futur dont tu ne fais pas partie. Voilà, la vérité est assez moche en fait. Alors oui, je préfère la lune au soleil.